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Publications
Dans un souci de transparence et d’information, le BFP publie régulièrement les méthodes et résultats de ses travaux. Les publications sont organisées en séries, entre autres, les perspectives, les working papers et planning papers. Certains rapports peuvent également être consultés ici, de même que les bulletins du Short Term Update publiés jusqu’en 2015. Une recherche par thématique, type de publication, auteur et année vous est proposée.
La valeur ajoutée, l'emploi et l'investissement dans les services d'intérêt général dans l'UE27 sont estimés pour l'année 2021.
Rapports - REP_SGIS_13006 (en),
Cette publication présente les résultats quantitatifs et qualitatifs de l’enquête sur les charges administratives des entreprises et des indépendants belges en 2022.
Working Papers - Working Paper 09-24 (fr), (nl),
Les développements récents dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) laissent présager qu’elle pourrait avoir des répercussions économiques importantes à l’avenir. Ces répercussions pourraient être tant positives, comme le renforcement de la croissance de la productivité structurellement en déclin, que négatives, comme la destruction d’emplois ou la domination croissante exercée par un petit nombre de très grandes entreprises. Les premiers résultats du projet AI Diffuse de l’OCDE, auquel la Belgique et neuf autres pays participent, montrent que les entreprises sont assez peu nombreuses à utiliser l’IA, a fortiori à la développer en interne. En Belgique, elle est assez bien utilisée, en comparaison avec d’autres pays. Actuellement, peu d’éléments attestent d’un effet positif de l’IA sur la productivité des entreprises, peut-être en raison du fait qu’elle a été introduite récemment. Parmi les dix pays participants, c’est en Belgique que le lien positif entre IA et productivité est le plus marqué. Ce lien est en outre robuste – contrairement à pratiquement tous les autres pays – lorsque l’on contrôle pour des caractéristiques pertinentes des entreprises et leurs investissements complémentaires dans les technologies de l'information et de la communication (TIC).
Articles - Article 016 (fr), (nl),
Des estimations des mark-ups sont réalisées pour les différentes activités du secteur marchand en Belgique sur les périodes 1997-2008 et 2009-2020. Le mark-up permet d’évaluer l’intensité de la concurrence dans un secteur. Plus il est élevé, plus la concurrence est faible et donc, plus les entreprises sont capables de générer des profits économiques au détriment des consommateurs. Nos résultats montrent que la concurrence est, en moyenne, plus faible dans les services que dans l’industrie manufacturière. Au sein de l'industrie manufacturière, les variations des mark-ups sont assez limitées dans le temps et entre activités. L'industrie pharmaceutique enregistre toutefois un mark-up relativement élevé. Au sein des services, les variations des mark-ups sont plus marquées. Trois secteurs – les activités financières et d’assurance, la production et distribution d’électricité et de gaz et les télécommunications – présentent des mark-ups élevés sur la période récente à la suite d’une forte augmentation.
Articles - Article 015 (fr), (nl),
Les subventions régionales et certaines incitants fiscaux semblent encourager les entreprises à augmenter leurs investissements dans les activités de R&D. Certaines incitations de l’impôt des sociétés semblent n’avoir aucun effet d’additionnalité, voire évincer des dépenses en R&D que les entreprises autofinanceraient. Vue que ces incitants se représentent la part du lion du coût budgétaire en augmentation rapide du soutien public à la R&D des entreprises, l’efficience des incitants fiscaux pour les activités de R&D pourrait être accrue en introduisant un plafond sur le montant total de l’aide publique que les entreprises peuvent recevoir, comme le montre également une étude internationale.
Rapports - REP_12721 (en),
Il ressort d’une nouvelle évaluation de l’aide publique à la R&D en Belgique que les subventions octroyées par les trois Régions et la dispense fédérale partielle de précompte professionnel pour les chercheurs ont contribué à accroître les dépenses de R&D en Belgique. Les résultats sont moins positifs pour un certain nombre d’incitants que les autorités fédérales octroient via l’impôt des sociétés. Étant donné que ces incitants fiscaux représentent la majeure partie du coût budgétaire de l’aide publique à la R&D, qui est en rapide augmentation, l'efficience de l'aide pourrait être accrue.
Articles - Article 014 (fr), (nl),
Qu’est-ce qui soutient la croissance de la productivité du travail en Belgique ? Les données de la base EUKLEMS du Bureau fédéral du Plan donnent une réponse à cette question.
Fact Sheets - Fact Sheet 006 (en), (fr), (nl),
Disponible dans les Comptes nationaux, le stock de capital renseigne sur la valeur à un moment déterminé des actifs accumulés dans l’économie. Il est composé de différents actifs fixes et provient de l’investissement réalisé par les différents agents économiques.
Articles - Article 011 (en), (fr), (nl),
Cette étude examine l'évolution du dynamisme entrepreneurial et son lien éventuel avec la croissance de la productivité en Belgique. Des statistiques sur la création d'entreprises, le retrait d'entreprises et la redistribution de la production entre entreprises au sein des branches d’activité sont présentées. Des données sur les entreprises belges, couvrant la période 2003-2017, sont utilisées pour décomposer la croissance de la productivité. Cette étude fournit des indications probantes d’une contribution substantielle des start-up dans les premières années de leur création à la croissance de la productivité des branches d’activité.
Working Papers - Working Paper 05-21 (en),
Le plan national pour la reprise et la résilience détaille l’usage qui sera fait de la dotation européenne de 5,925 milliards d’euros dans le cadre de la facilité du même nom. La majeure partie du plan belge, soit 88 %, est directement dévolue à un accroissement du stock de capital de l’économie belge, par des investissements publics et par des aides à l'investissement privé. À court terme, au plus fort de l’effet de relance du plan, le surcroît d’activité économique atteindrait 0,2 % par rapport à un scénario hors plan. Bien que l'impulsion soit temporaire, elle entraîne des effets de long terme en raison de l’augmentation du stock de capital public et du soutien aux activités de R&D qui améliorent la rentabilité du stock de capital des entreprises et encouragent son accumulation. À l’horizon 2040, le PIB devrait encore être supérieur de 0,1 % à la trajectoire de croissance hors plan. Cette estimation ne tient pas compte du volet réformes du plan, ni des plans de relance, d’investissements et de réforme plus larges annoncés par les Régions et le pouvoir fédéral, ni de l’effet induit sur l’économie belge des plans étrangers.
Rapports - REP 12401 (en), (fr), (nl),
Le processus de production des branches qui font le plus de R&D en Belgique s’est-il modifié au cours des 10 dernières années ? Cette analyse tente de répondre à cette question en utilisant à la fois les données sectorielles et les données d’entreprises.
Working Papers - Working Paper 07-20 (fr), (nl),
Ce Working Paper analyse la position compétitive de l’industrie pharmaceutique sur la période 2000-2017. L’évolution de la compétitivité prix/coût et de la compétitivité non-coût est étudiée sur base d’une comparaison avec nos pays voisins, la France, les Pays-Bas et l’Allemagne, et le Danemark, l’Irlande, la Slovénie et la Suisse. L’étude analyse également une série de facteurs globaux et de facteurs spécifiques à la pharmacie susceptibles d’influencer la compétitivité.
Working Papers - Working Paper 05-19 (fr),
La Belgique s’est engagée à porter les investissements dans la recherche et le développement (R&D) à 3% du PIB en 2020. Afin de concrétiser son engagement, le gouvernement fédéral a introduit plusieurs incitations fiscales en faveur des activités R&D des entreprises. Ce document présente les résultats de la troisième évaluation de l’efficience de ces avantages fiscaux, couvrant la période 2003-2015.
Working Papers - Working Paper 04-19 (en),
Ce working paper analyse l’impact économique d’une réforme des services professionnels réglementés en Belgique à l’aide de simulations utilisant le modèle DSGE de la Commission européenne QUEST III R&D
Working Papers - Working Paper 09-18 (en),
L’objectif de ce rapport est de donner une vision des principaux déterminants de la croissance économique et de l’évolution de la productivité en Belgique, en comparaison avec ses trois pays voisins et les Etats-Unis sur longue période, de 1970 à 2015. Il contient aussi une analyse détaillée de la période récente, 2000-2015, permettant de mettre en évidence l’impact de la crise économique et financière de 2008.
Working Papers - Working Paper 11-17 (en),
La présente étude propose un nouveau modèle pour rendre compte de l’hétérogénéité non observée dans la modélisation empirique. Le modèle élargit le modèle de classes latentes bien connu en utilisant la famille de distributions Johnson. Vu la grande diversité de formes de distribution pouvant être adoptées par la famille Johnson, la méthode n’impose pas les hypothèses a priori habituelles concernant le type de densités qui sont mélangées.
Working Papers - Working Paper 14-17 (en),
L’investissement des autorités publiques belges, et en particulier la part consacrée à l’infrastructure, est relativement faible à la fois historiquement et en comparaison avec les pays voisins. Une simulation à l’aide du modèle Quest III de la Commission européenne suggère qu’une augmentation permanente de l’investissement du gouvernement de 0,5% du PIB augmente le PIB, la consommation privée et l’investissement privé. L’impact de mécanismes alternatifs de financement est comparé. Finalement, une réallocation, budgétairement neutre, de l’investissement en faveur de l’infrastructure conduirait, déjà à moyen terme, à des gains substantiels de PIB et de ses principales composantes.
Working Papers - Working Paper 01-17 (en), (en),
Des études récentes ont mis en évidence l’importance des entrants et des jeunes entreprises pour la création d’emploi, la productivité et la croissance économique. Certains académiques soutiennent que la diminution du taux auquel les nouvelles entreprises sont créées peut entrer en ligne de compte pour expliquer le ralentissement de la productivité dont sont témoins la plupart des pays de l’OCDE. La Belgique se compare défavorablement avec d’autres pays en raison de son très faible taux de start-up. Ce papier revoit les preuves empiriques entre les pays, fournit une analyse supplémentaire du rôle des jeunes entreprises dans la dynamique de l’emploi et de la productivité par branche en Belgique et conclut par une discussion des implications pour la politique économique.
Working Papers - Working Paper 06-16 (en),
Dans le contexte de la mutation structurelle continue de l'économie (et de l'essoufflement de la croissance de la productivité mondiale), les responsables politiques et les gouvernements de la plupart des pays développés (également la Belgique) fondent de plus en plus leurs espoirs dans l'économie numérique comme moteur de la transformation vers une économie axée sur les connaissances et l'innovation. En tant que “general purpose technologies”, les TIC offrent des opportunités qui dépassent les secteurs TIC à proprement parler et peuvent ainsi accroître sensiblement la prospérité et le bien-être social. Outre l'impact sur la productivité, la promotion du numérique est également susceptible de contribuer à des solutions répondant un certain nombre de défis complexes auxquels la société est confrontée comme les changements démographiques (vieillissement), la demande croissante de mobilité, la transition vers la production d'énergies renouvelables, ...
Autres publications - OPREP201511 (fr), (nl),
La présente étude analyse la production et l'utilisation de TIC en Belgique et identifie les forces et faiblesses de notre pays par rapport aux pays voisins. Elle porte à la fois sur les biens et les services TIC, sachant que la production des services est près de sept fois supérieure à celle des biens. Dans le cadre de cette étude, l’utilisation de TIC se limite à leur utilisation comme facteur de production, et non comme bien de consommation. Dans l'économie belge, les branches TIC se caractérisent par leur dynamisme, avec un taux d'entrée sur le marché élevé, une forte productivité du travail et une rentabilité relativement élevée. En outre, les services TIC contribuent largement au commerce extérieur. On constate que les TIC sont étroitement liés à l'économie belge. Mais par rapport aux pays voisins, la part des TIC dans l'économie est assez faible. Toujours par rapport à nos voisins, la part des biens TIC dans le commerce extérieur de biens est réduite et l'innovation en termes de demandes de brevets est plutôt timide. Le capital TIC fournit proportionnellement une contribution moins élevée à la croissance économique, et cette contribution semble diminuer. Dans le secteur TIC belge, les télécommunications se distinguent avec une part relativement importante dans l'économie et les exportations de services. Elles sont le principal utilisateur de produits TIC en Belgique et peuvent ainsi stimuler le développement des TIC.
Working Papers - Working Paper 07-15 (nl),
Le papier analyse la tendance à long terme de la croissance économique belge et l’évolution récente de la productivité du travail en prenant en compte l’impact de la crise. Il identifie les causes de la baisse tendancielle des gains de productivité en analysant les changements structurels de l’économie et en appliquant la méthodologie de la comptabilité de la croissance à des données sectorielles. Enfin, il envisage les actions politiques possibles qui minimisent l’impact négatif sur la demande agrégée tout en maximisant l’effet positif sur la croissance de la productivité du travail.
Working Papers - Working Paper 06-15 (en),
Cette étude décrit les résultats d’une deuxième évaluation des incitations fiscales introduites entre 2005 et 2008 par les autorités fédérales belges afin de soutenir les activités R&D des entreprises privées. La présente évaluation inclut, par rapport à la première réalisée en 2012, deux années supplémentaires (2010 et 2011) et évalue pour la première fois le crédit d’impôt pour investissement dans la R&D et la déduction fiscale de 80% des revenus de brevets, mesures qui ont été introduites en 2007. La seconde évaluation traite également, d’une part, de la difficulté d’établir le caractère causal des aides publiques et, d’autre part, de l’importance de tenir compte de la forte persistance des dépenses R&D des entreprises.
Working Papers - Working Paper 05-15 (en),
Vu le rôle fondamental joué par la Recherche & Développement (R&D) dans les progrès technologiques et les imperfections bien connus du marché pour la création de connaissances, la grande majorité des pays de l'OCDE soutiennent directement ou indirectement les activités R&D des entreprises. La plupart des études évaluant les aides publiques se concentrent sur la mesure dans laquelle les subventions ou incitations fiscales soutiennent les projets de R&D que les entreprises n'auraient pas lancés sans cet apport (additionnalité dite par input). Certaines études récentes tiennent, quant à elles, compte de l'additionnalité par output, c'est-à-dire de l'impact des aides publiques en faveur de la R&D sur l'innovation des produits et processus et sur la productivité. Enfin, quelques études se penchent sur les effets possibles des aides publiques sur la nature des activités R&D déployées, par exemple si les aides entraînent un glissement des activités R&D vers des projets plus risqués, mais donc potentiellement plus rentables.
Working Papers - Working Paper 08-14 (en),
Le présent document est le quatrième rapport d'avancement semestriel dans lequel le Bureau fédéral du Plan (BFP) rend compte du monitoring de la stratégie de relance adoptée par le gouvernement fédéral au cours de l’été 2012.
Ce rapport d’avancement dresse un aperçu des mesures qui font l'objet d'un suivi et précise le stade de mise en œuvre de ces mesures (au 30 juin 2014).
Rapports - OPREP201403 (fr), (nl),
Le présent document est le troisième rapport d'avancement semestriel dans lequel le Bureau fédéral du Plan (BFP) rend compte du monitoring de la stratégie de relance adoptée par le gouvernement fédéral au cours de l’été 2012.
Ce rapport d’avancement dresse un aperçu des mesures qui font l'objet d'un suivi et précise le stade de mise en œuvre de ces mesures (au 31 janvier 2014). Ensuite, les mesures sont analysées.
Rapports - OPREP201401 (fr), (nl),