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Le modèle économétrique HERMES du Bureau fédéral du Plan sera sollicité pour calculer les impacts macroéconomiques et budgétaires sur la prochaine législature de l’ensemble des mesures prioritaires de chaque parti politique. Le présent document résume les caractéristiques du modèle et en décrit la structure et les principaux mécanismes de transmission. Le fonctionnement du modèle est ensuite illustré à l’aide de quelques variantes de politique économique. Enfin, la procédure d’élaboration du scénario de référence est décrite et les principaux résultats des perspectives économiques de juin 2023 sont présentés. Ces perspectives constituent la préfiguration du scénario de référence qui sera publié en février 2024 et qui couvrira la période 2024-2029.
Le modèle d’équilibre général dynamique stochastique QUEST III R&D sera utilisé pour simuler les effets à long terme des mesures structurelles et/ou (para-)fiscales de chaque parti politique dans le cadre du ‘chiffrage des programmes électoraux 2024’. Le présent document résume les caractéristiques du modèle, en présente la structure et les principaux mécanismes de transmission ainsi que les limites. Le fonctionnement du modèle est ensuite illustré à l’aide de cinq réformes structurelles et (para‑)fiscales stylisées.
Dans le cadre du chiffrage des programmes électoraux, le modèle PROMES sera utilisé pour calculer l’impulsion budgétaire de mesures portant sur les dépenses publiques de soins de santé. Ce Working Paper décrit les caractéristiques, la structure et le fonctionnement du modèle. Pour illustrer les possibilités de simulation du modèle, il présente les résultats du scénario de référence et de quelques scénarios alternatifs.
La loi du 28 février 2014 modifiant la loi du 21 décembre 1994 instituant l’Institut des comptes nationaux (ICN) prévoit d’évaluer tous les trois ans les prévisions à court terme et les perspectives à moyen terme réalisées par le Bureau fédéral du Plan (BFP) pour le compte de l’ICN. Cette obligation légale est à l’origine des évaluations qui ont été présentées en 2017 et 2020. Le présent document actualise les principales statistiques qui résument les propriétés des erreurs de prévision et de projection.
Ce rapport présente les résultats de la version de juin des « Perspectives économiques 2023-2028 ». Il décrit le contexte international et les perspectives pour la croissance économique belge, l'inflation, la consommation d'énergie, les émissions de gaz à effet de serre, le marché du travail et les finances publiques. Ces perspectives ont été établies sur la base des informations disponibles au 6 juin 2023.
Ce rapport présente les résultats de la version de juin des « Perspectives économiques 2022-2027 ». Il décrit le contexte international et les perspectives pour la croissance économique belge, l'inflation, la consommation d'énergie, les émissions de gaz à effet de serre, le marché du travail et les finances publiques. Ces perspectives ont été établies sur la base des informations disponibles au 3 juin 2022.
Le Bureau fédéral du Plan a élaboré des perspectives économiques jusqu'en 2027 dans la foulée du Budget économique 2022 publié le 17 février. Ces perspectives constituent une contribution à la préparation du nouveau Programme de stabilité et du nouveau Programme national de réforme.
Ce rapport présente les résultats de la version de juin des « Perspectives économiques 2021-2026 ». Une version provisoire de ces perspectives avait été publiée en février par le Bureau fédéral du Plan. La projection tient compte de l’essentiel de l’information disponible en date du 2 juin 2021, en ce compris les plans de relance belge et étrangers. Elle n’anticipe pas les éventuelles mesures de relance supplémentaires ou mesures d’économies budgétaires que les gouvernements sont susceptibles de prendre à l’avenir.
Les Perspectives économiques 2021-2026 de février 2021 du Bureau fédéral du Plan présentent une projection du solde de financement de l’ensemble des communautés et régions. Le présent rapport en fournit une désagrégation, en distinguant la Communauté flamande, la Communauté française, la Région wallonne, la Région de Bruxelles-Capitale et les autres entités fédérées. Ces chiffres feront l’objet d’une actualisation et d’un commentaire détaillé lors de la publication des "Perspectives économiques 2021-2026" en juin 2021 et des "Perspectives économiques régionales 2021-2026" en juillet 2021.
La loi du 28 février 2014 modifiant la loi du 21 décembre 1994 instituant l’Institut des comptes nationaux prévoit d’évaluer tous les trois ans les prévisions à court terme et les perspectives à moyen terme. Cette obligation légale est à l’origine des évaluations présentées dans les Working Papers 12-17 et 13-17. Le présent document actualise les principales statistiques synthétisant les propriétés des erreurs de prévision et de projection.
L’économie belge a traversé une profonde récession au cours du premier semestre de cette année à la suite des mesures prises en Belgique et à l’étranger pour lutter contre le coronavirus. Vu l’ampleur et la nature inédites de cette crise, sa mesure reste incertaine de même que le déroulement de la reprise économique en sortie de crise. Par conséquent, les prévisions publiées depuis le printemps font l’objet de révisions qui peuvent être importantes au fur et à mesure de la disponibilité de nouvelles données.
Ce rapport synthétise les résultats de la version de juin des « Perspectives économiques 2020-2025 ». Une version provisoire de ces perspectives a été publiée en mars par le Bureau fédéral du Plan. Ces perspectives ne tenaient pas compte des mesures qui ont été prises après le 11 mars en Belgique et dans de nombreux autres pays européens pour combattre la pandémie de coronavirus et soutenir l’activité économique. Les résultats de cette version de juin sont donc très différents de ceux de mars.
Les Perspectives économiques 2020-2025 de mars 2020 du Bureau fédéral du Plan présentent une projection du solde de financement de l’ensemble des communautés et régions. Le présent rapport en fournit une désagrégation, en distinguant la Communauté flamande, la Communauté française, la Région wallonne, la Région de Bruxelles-Capitale et les autres entités fédérées. Ces chiffres feront l’objet d’une actualisation et d’un commentaire détaillé lors de la publication des « Perspectives économiques 2020-2025 » en juin 2020 et des « Perspectives économiques régionales 2020-2025 » en juillet 2020.
Les présentes perspectives économiques constituent une contribution à la préparation du Programme de stabilité 2020-2023 et du Programme national de réforme 2020. Compte tenu du calendrier de ces deux programmes, ces perspectives de mars tiennent uniquement compte de l’information disponible au 11 mars, ce qui constitue une faiblesse importante dans le contexte économique actuel où des risques à la baisse surviennent à un rythme soutenu. Les présentes perspectives doivent donc davantage être considérées comme une projection technique réalisée en vue des deux programmes mentionnés ci-dessus. Les chiffres ont été approuvés par le Conseil d’administration de l’Institut des comptes nationaux (ICN). La version définitive des « Perspectives économiques 2020-2025 » sera publiée en juin 2020 par le Bureau fédéral du Plan.
Ce rapport synthétise les résultats de la version de juin des « Perspectives économiques 2019-2024 ». Une version provisoire de ces perspectives a été publiée à la mi-février par le Bureau fédéral du Plan dans le cadre de la préparation du programme de stabilité et du programme national de réforme. Cette version de février a également constitué le scénario de référence pour le chiffrage des programmes électoraux dont les résultats ont été publiés à la fin avril.
Le Bureau fédéral du Plan a développé, dans le cadre du projet Nowcasting, un modèle de microsimula-tion dynamique pour la prévision immédiate (nowcasting) et les prévisions à moyen terme (actuellement jusqu’à 2020) des indicateurs de pauvreté et d’exclusion sociale. Les messages clés de ce projet sont les suivants : la prévision immédiate et la prévision à moyen terme sont maintenant possibles en utilisant un modèle de microsimulation dynamique. Les résultats provisoires du modèle suggèrent que le risque global de pauvreté resterait stable, mais que celui de la sous-population des 65 ans et plus diminuerait avec le temps, tandis que celui de la population plus jeune augmenterait légèrement. En outre, les résultats montrent une légère croissance d’inégalité des revenus pour l’ensemble de la population dans les premières années mais cette croissance s’estomperait ensuite et l’inégalité deviendrait plus stable. Enfin, l'indicateur VLWI baisserait sur l’ensemble des années simulées. Cette baisse serait alimentée par l'augmentation continue du taux d'emploi de la population en âge de travailler.
Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme. Il reprend les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2019-2024 » dont la version définitive sera publiée en juin 2019.
Les Perspectives économiques publiées par le Bureau fédéral du Plan permettent de baliser un avenir « à politique inchangée » de l’économie belge pour les cinq prochaines années. Les Perspectives 2018-2023 s’inscrivent dans le contexte d’un cycle économique arrivé à maturité en zone euro et d’une croissance économique européenne bridée à moyen terme par le vieillissement de la population.
Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme. Il reprend les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2018-2023 » qui seront publiées en juin 2018.
Ce working paper présente une mise à jour de l’étude de 2007 qui évalue la précision des perspectives à moyen terme pour l’économie belge. L’évaluation inclut neuf éditions supplémentaires des perspectives qui couvrent des périodes avant, pendant et après la crise financière.
Dans le cadre de la Loi du 28 février 2014 concernant l’Institut des comptes nationaux, le Comité scientifique sur le budget économique a pris connaissance de cette étude et a émis un avis sur celle-ci.
Au sein de l’Institut des comptes nationaux, le Bureau fédéral du Plan est chargé de produire les prévisions macroéconomiques utilisées pour élaborer le budget du gouvernement fédéral. La présente étude est une mise à jour de l’analyse ex post de la qualité de ces prévisions. Par rapport à l’étude précédente consacrée à ce sujet, l’échantillon s’est enrichi de six années supplémentaires et le nombre de variables évaluées a été augmenté, notamment avec des séries à prix courants. Par ailleurs, la présente étude examine également dans quelle mesure les erreurs de prévision observées s’expliquent par des erreurs commises sur les hypothèses exogènes liées à l’environnement international.
Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme (PNR). Il reprend les hypothèses et les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2017-2022 » qui seront publiées en juin 2017.
D’après les « perspectives économiques 2016-2021 », l’accélération de la croissance de l’économie belge porterait celle-ci de 1,2% en 2016 à 1,5% en moyenne annuelle sur la période 2017-2021. La progression de l’emploi serait soutenue (plus de 38 000 par an en moyenne de 2016 à 2021). Le déficit des finances publiques, qui passerait de 2,5% du PIB en 2015 à 2,8% en 2016, se réduirait en 2017 (2,2% du PIB) puis ne varierait pratiquement plus. Le poids économique de l’ensemble des administrations publiques, notamment en termes d’emploi, serait en recul.
Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme (PNR). Il reprend les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2016-2021 » qui seront publiées en mai 2016.
Ce rapport constitue une contribution à la préparation du nouveau Programme de Stabilité et du nouveau Programme National de Réforme (PNR). Il reprend les principaux résultats de la version préliminaire des « Perspectives économiques 2015-2020 » qui seront publiées en mai 2015.
D’après les “Perspectives économiques 2014-2019”, la reprise au niveau mondial et européen devrait permettre à la Belgique de renouer avec une croissance économique modérée dans un contexte d’inflation faible.
Compilation des différentes présentations effectuées lors de la présentation des "Perspectives économiques à moyen terme 2014-2019" au Conseil Central de l'Economie le 25 juin 2014.
Dans le cadre du semestre européen, en vue de la préparation du programme de stabilité et du programme national de réforme (PNR), il a été demandé au Bureau fédéral du Plan de réaliser une projection pluriannuelle à politique inchangée. Autrement dit, cette projection tient compte des dispositions législatives en place, des décisions connues au 10 mars 2014 et des budgets 2014 des différents niveaux de pouvoir. En particulier, l’ensemble des mesures prises dans le cadre des budgets et contrôles budgétaires successifs (jusque et y compris le budget 2014), ainsi qu’en application du plan de relance de l’été 2012, du pacte de compétitivité de novembre 2013 et de la 6e réforme de l’Etat, sont intégrées. Par ailleurs, un chapitre du document est consacré à la présentation de variantes réalisées dans le cadre du PNR.
Le point de départ de ce rapport est l’important écart entre l’estimation de l’output gap faite par la Commission européenne et par le Bureau fédéral du Plan à l’horizon 2015. Nous défendons la thèse que les estimations de croissance potentielle par la Commission européenne pour les années 2013-2014 ne répondent pas, contrairement à celles réalisées par le Bureau fédéral du Plan, aux critères fondamentaux de stabilité et de minimisation des révisions. Par ailleurs, une comparaison avec les estimations d’output gap pour l’Allemagne et la France, vient appuyer la pertinence de l’estimation pour la Belgique faite par le BFP.
Les nouvelles perspectives pour l‘économie mondiale du Bureau fédéral du Plan présentent des projections pour les principales zones économiques du monde sur la période 2012-2020. La projection repose sur l’hypothèse d’un cadre institutionnel stable dans l’Union européenne et sur l’absence de mesures de consolidation de bilan qui auraient des effets suffisamment importantes que pour affecter durablement la croissance du PIB. Dans un tel cadre, la projection pour la zone euro indique qu’une croissance modérée de la demande finale intérieure et des exportations nettes positives devraient produire une croissance modérée du PIB sur la période 2012-2020. La croissance économique devrait être supérieure à la croissance de la production potentielle, fermant ainsi l’écart de production de la zone euro d’ici 2017. Cette fermeture de l’écart de production devrait être accompagnée d’un recul du taux de chômage, qui retomberait à son niveau d’avant crise. En même temps, la hausse du prix de la consommation privée devrait accélérer, atteignant d’ici 2020 un niveau compatible avec la cible d’inflation de la Banque centrale européenne. Les mesures de consolidation budgétaire qui sont simulées dans cette projection devraient générer des surplus primaires qui permettraient un recul du taux d’endettement public en pour cent du PIB.
Au sein de l’Institut des Comptes Nationaux, le Bureau fédéral du Plan est responsable entre autre de l’élaboration du budget économique, soit le cadre macro-économique servant de base au budget fédéral. Le présent document analyse l’ampleur et les caractéristiques des erreurs de prévisions des principaux agrégats fournis par le budget économique. Il est toutefois important de rappeler qu’une telle évaluation ne peut être considérée comme le test ultime de qualité dans la mesure où d’autres importants critères, comme la cohérence et l’exhaustivité, ne sont pas pris en compte ici. Il ressort de l’analyse que les erreurs de prévisions du budget économique de septembre peuvent être importantes, en particulier au cours de périodes de fortes turbulences économiques. Les prévisions élaborées en février obtiennent de meilleurs scores aux différents tests, ce qui met en évidence l’utilité du contrôle budgétaire. Le document évalue également pour la première fois les prévisions trimestrielles de croissance du PIB et d’inflation. La distribution des erreurs de prévisions est ensuite utilisée pour calculer des intervalles de confiance autour du scénario central. Ces intervalles sont représentés graphiquement sous la forme de bandes de couleurs distinctes et permettent ainsi d’illustrer l’incertitude qui entoure la prévision.
At the time of writing, and although certain segments of financial markets do not yet seem to have returned to their normal, pre‐global financial crisis, functioning, it appears that the wide‐spread and massive policy initiatives of the past year have managed to avert any systemic financial meltdown and limit the depth of the world‐wide recession. Indeed, monetary policy, financial policy, the fiscal stimulus plans that began to be implemented in 2009 and the simultaneous boost from countries’ automatic fiscal stabilisers, all managed to limit the scale of the downturn in real GDP and employment levels. The downturn is also thought to have been limited in OECD countries due to the unexpected resilience of GDP growth in emerging market economies such as China, Brazil and India, who helped to prop up OECD activity by helping to contain the decline in world trade.
In early 2010, policy has remained supportive on all fronts, fiscal, monetary and financial. However, with respect to fiscal policy in particular, after the massive public interventions of 2009, the time has come to look at the effects that these initiatives have had, both in terms of their support to the economy, but also in terms of their effects on countries’ budget deficits and debts and the exit strategies. A difficult balance must be struck between the necessary continued public support for the economy as long as output gaps and unemployment rates remain high, and the medium‐run adjustments to public deficit and debt trajectories.
The current scenario is one where governments withdraw public support from the economy gradually without compromising the recovery. Over the medium term, public deficits do not explode. Real GDP growth picks up as the private sector begins to drive the recovery. In the euro area, we see the emergence of structural current account surpluses. In the United States, there is low inflation and a rebalancing of the current account deficit. In Japan, unfavourable demographic trends lead to low GDP growth; furthermore, the country is projected to continue down a path of deflation throughout the projection period.
Cette étude vise essentiellement à analyser les principaux effets sur l’économie belge d’aménagements fiscaux englobant une hausse des taxes sur l’énergie et une baisse d’autres prélèvements (surtout sur le travail). Les résultats mettent en avant un double dividende (augmentation de l’emploi et baisse de la consommation d’énergie et des émissions des CO2) si la hausse des taxes sur l’énergie va effectivement de pair avec une baisse des prélèvements sur le travail.
Le BFP publie depuis le début des années quatre-vingt des perspectives à moyen terme pour l’économie belge. Le document de travail ci-joint analyse les erreurs de projections pour les principaux indicateurs macro-économiques sur la période 1987-2005 et tente d’identifier l’origine de celles-ci. Une telle analyse vise à donner aux utilisateurs des perspectives une idée sur l’ampleur des incertitudes entourant de tels exercices et à mettre en évidence certaines faiblesses méthodologiques afin d’y remédier.
This paper describes the operating mode of the two existing Belgian fiscal councils as well as their role in the budgetary planning process. These institutions, created or reformed in depth in a context of large public deficits and increasing public debt-to-GDP ratios coupled with the regionalization of the Belgian state, are the result of a maturing process. The National Accounts Institute covers the positive side of the budgetary process, while the High Council of Finance deals with the normative side. Concerning the former domain, the creation of an independent institution to provide unbiased forecasts undeniably contributed to the consolidation of public finances in Belgium. In the context of the revised Stability and Growth Pact, lessons drawn from the Belgian experience can certainly be useful for other Member States willing to improve their fiscal institutional settings. Our chief recommendations for making the budgetary process successful are: institutions dealing with positive economics should enjoy a fully independent status but remain public; positive and normative issues should be completely separated from an institutional point of view; and responsibility should be shared between several strong independent institutions so as to minimize political pressure.
This Working Paper presents a medium-term macro-economic outlook for the major economic areas of the world. The outlook is produced using nime, the Belgian Federal Planning Bureau’s macro-econometric world model. The Working Paper also features an assessment of the effects of a permanent 25 percent increase in the price of oil, a description of the nime model, and an appendix outlining the major technical assumptions of the outlook.