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Ce document donne une description non technique des modèles PLANET et CASMO. Les principaux résultats des modèles sont exposés au moyen du scénario qui servira de référence dans le cadre du chiffrage des programmes des partis. Enfin, plusieurs scénarios de politique et leurs résultats sont présentés, à titre d’illustration.
Dans ce rapport, le modèle PLANET est mis en œuvre pour examiner l'impact d'une offre alternative de trains sur la demande de transport de passagers à l'horizon 2040. Pour ce faire, les résultats de plusieurs scénarios alternatifs sont comparés au scénario de référence des perspectives de transport publiées en avril 2022.
Ce rapport a pour objectif d’étudier les effets, sur la demande de transport de marchandises, de la suppression du remboursement des accises sur le diesel professionnel, à l’aide du modèle PLANET. L’analyse met en regard les résultats publiés en avril 2022 dans les Perspectives de la demande de transport en Belgique avec une variante tablant sur la suppression de ce régime pour les camions à partir de 2025 (t+1 dans le modèle).
La périurbanisation est un phénomène bien installé dans les évolutions des sociétés occidentales. Elle porte le risque d’augmenter la demande de transport, en périphérie et en direction des centres urbains, à rebours des objectifs de durabilité. Ce travail éclaire le lien entre périurbanisation et demande de transport. Deux scénarios de développement démographique sont considérés, encadrant le scénario de référence des Perspectives de la Demande de Transport d’avril 2022. Leur effet sur la demande de transport est analysé.
Le Bureau fédéral du Plan publie, en collaboration avec le SPF Mobilité et Transports, ses perspectives de la demande de transport en Belgique, à politique inchangée. Cette cinquième édition confirme un scénario de saturation de la demande de transport de personnes, déjà esquissé lors de l’exercice précédent. Le transport de marchandises affiche une croissance soutenue, tirée par les échanges internationaux. Le transport routier reste dominant tant pour les personnes que pour les marchandises. Ces évolutions entrainent une baisse des vitesses moyennes sur le réseau routier, particulièrement autour des agglomérations d’Anvers et de Gand. Les émissions de gaz à effet de serre et de polluants locaux diminuent fortement en projection sous l’effet de l’amélioration des performances environnementales et de l'électrification du parc automobile.
Dans le cadre d’un accord de collaboration entre le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports, le Bureau fédéral du Plan (BFP) réalise tous les trois ans des perspectives à long terme de l’évolution de la demande de transport en Belgique. Les hypothèses sous-tendant ces exercices prospectifs sont fixées conjointement par le BFP et le SPF Mobilité et Transports. Le présent rapport décrit succinctement les principales hypothèses et mises à jour proposées pour l’élaboration des perspectives de la demande de transport publiées en avril 2022.
L’objectif de cette étude est de prendre un certain recul sur le sujet du télétravail comme outil de gestion des problématiques de mobilité. Au-delà du regain d’intérêt dans le débat public dont le télétravail bénéficie, et de sa forte mise en avant depuis le début de l’épidémie de COVID-19, il s’agit ici d’objectiver au moyen de sources fiables et de modèles éprouvés les relations entre augmentation du télétravail et diminution de la demande de transport. A cet effet, le modèle PLANET du Bureau Fédéral du Plan a été adapté pour pouvoir explicitement tenir compte d’évolutions de cette pratique dans ses projections à long terme.
PLANET est un modèle développé par le Bureau fédéral du PLAN qui modélise la relation entre l’Economie et le Transport. Son objectif est d’élaborer une projection à long terme de la demande de transport de personnes et de marchandises en Belgique, de simuler les effets de politiques de transport et de réaliser des analyses coûts-bénéfices de ces politiques de transport. Ce rapport méthodologique décrit les principales caractéristiques du modèle PLANET et, plus particulièrement, la version 4.0 utilisée pour les perspectives de la demande de transport publiées en janvier 2019.
Le coût total de possession (Total Cost of Ownership ou TCO) des voitures électriques est comparé à celui des voitures diesel et essence. Pour les voitures de petite taille, les voitures électriques ont un TCO inférieur uniquement pour des durées de vie dépassant les horizons de planification qu’utilisent les individus. Pour les voitures de taille moyenne, les voitures électriques ont un TCO inférieur si leur kilométrage escompté est suffisamment élevé. Les grosses voitures électriques ont un TCO plus élevé pour toute hypothèse raisonnable concernant leurs profils d'utilisation.
Dans le cadre d’un accord de collaboration entre le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports, le Bureau fédéral du Plan réalise tous les trois ans des perspectives à long terme de la demande de transport en Belgique. Cet exercice est le quatrième du genre et a pour objectif d’élaborer une projection à politique inchangée permettant de dégager les tendances générales à long terme, de détecter les éléments susceptibles de fonder une politique de transport et d’étudier l’impact de politiques de transport.
Les dépenses fiscales à l’impôt des personnes physiques liées au transport représentaient en 2012 environ 1,9 milliard d’euros, dont 1,5 milliard imputable au régime des voitures de société. Ce dernier montant correspond à 4,3 % des recettes de l’impôt sur les personnes physiques. La perte de bien être sur le marché des transports occasionnée par une subvention d’une telle importance a déjà été mise en évidence dans une précédente étude (Laine et Van Steenbergen, 2016a). Dans cette étude, nous abordons le régime fiscal des voitures de société dans un contexte plus large. Nous étudions les coûts sociétaux liés à la levée d’un euro supplémentaire au travers de l’impôt des personnes physiques, compte tenu des distorsions occasionnées sur les différents marchés concernés directement ou indirectement par cet impôt. Nous nous intéressons plus spécifiquement au marché du travail et au marché du transport.
Cette étude vise à quantifier l’ampleur des subventions liées aux déplacements domicile-lieu de travail en Belgique ainsi que l’impact de ces subventions sur le trafic. À cet effet, nous avons adapté le modèle PLANET en tenant compte des données les plus récentes disponibles sur le traitement fiscal à l’impôt des personnes physiques des remboursements des frais de déplacement domicile-lieu de travail et sur les subventions du système du tiers payant pour le transport ferroviaire. Le taux de subventionnement varie sensiblement selon le mode de transport utilisé pour les déplacements domicile-lieu de travail et le type de remboursement. Il apparaît que les déplacements domicile-lieu de travail effectués avec son véhicule personnel sont généralement peu subventionnés, s’ils le sont. En revanche, les déplacements en voiture de société, à vélo et en transports en commun jouissent de taux de subventionnement relativement élevés. Les simulations de politiques montrent dans quelle mesure les subventions aux déplacements domicile-lieu de travail influence la répartition modale. Il apparaît en outre que l’exonération de l’intervention patronale dans l’impôt des personnes physiques et les subventions aux usagers du rail n’incitent que modérément à abandonner les modes privés de transport, mais contribuent à un allongement des distances de déplacement.
Cette étude tente d’établir de quelle manière le régime fiscal avantageux qui s’applique actuellement à la détention ou l’utilisation de voitures de société peut influencer le comportement des personnes qui en bénéficient. Dans un premier temps, nous tentons de déterminer comment ce régime influence les décisions prises par rapport au parc automobile du ménage, c’est-à-dire le nombre de voitures du mé-nage, leur motorisation et leur valeur. Dans un deuxième temps, nous étudions l’incidence de ce régime sur la propension à utiliser la voiture pour réaliser les déplacements domicile-lieu de travail, le nombre de kilomètres parcourus pour ces déplacements et d’autres déplacements privés. L’analyse a été menée par le biais de l’enquête BELDAM, qui constitue une base de données d’une grande richesse sur les comportements en matière de mobilité en Belgique.
Dans le cadre d’un accord de collaboration entre le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports, le Bureau fédéral du Plan réalise tous les trois ans des perspectives à long terme de l’évolution de la demande de transport en Belgique. Cet exercice est le troisième du genre et a pour objectif d’élaborer une projection à politique inchangée permettant de dégager les tendances générales à long terme, de détecter les éléments susceptibles de fonder une politique de transport et d’étudier l’impact de politiques de transport.
Les recherches récentes dans le domaine du transport montrent que l'utilisation de la voiture a atteint un seuil de saturation dans de nombreux pays développés. Surtout dans les zones métropolitaines, la voiture est progressivement délaissée au profit des modes de transport « doux » et des transports publics. En outre, les jeunes adultes ont modifié leur comportement de mobilité au détriment de la voiture. La présente analyse sur les déplacements domicile-travail et domicile-école en Belgique fait ressortir des évolutions semblables. Elle est basée sur des données récentes de la mobilité, issues de l'enquête belge sur les forces de travail (EFT) et de l'enquête socioéconomique de 2001.
Ce working paper décrit les principales évolutions des dépenses de consommation des ménages en Belgique pour la fonction de transport. Plusieurs sources de données sont exploitées : d’une part, les données issues des comptes nationaux sur les dépenses de consommation finale des ménages (ICN, Eurostat) et, d’autre part, les résultats des enquêtes sur le budget des ménages (DGSIE).
Le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports ont publié en septembre 2012 une nouvelle projection de référence de l’évolution à long terme de la demande de transport en Belgique (BFP et SPF M&T, 2012). Outre l’évolution du transport de personnes et de marchandises ainsi que de son coût, cette projection présente des perspectives d’évolution des émissions des gaz à effet de serre ainsi que des principaux polluants libérés par le transport et calcule le coût environnemental de ces émissions. Les calculs ont été réalisés en collaboration avec le VITO dans le cadre des projets LIMOBEL et PROLIBIC, tous deux financés par la Politique scientifique fédérale.
Le présent Working Paper présente la méthodologie appliquée pour évaluer l’impact du transport sur l’environnement, ainsi qu’une analyse détaillée de l’évolution des émissions de CO2, NOx et PM2,5 libérées par le transport à l’horizon 2030. Cette analyse détaillée comprend notamment une analyse de décomposition permettant de mettre en évidence les différents facteurs explicatifs de cette évolution.
Dans le cadre dʹun accord de collaboration entre le Bureau fédéral du Plan et le SPF Mobilité et Transports, le Bureau fédéral du Plan réalise tous les trois ans des perspectives à long terme de l’évolution de la demande de transport en Belgique. Cet exercice permet d’élaborer une projection à politique inchangée permettant de dégager les tendances générales à long terme, de détecter les éléments susceptibles de fonder une politique de transport et d’étudier l’impact de politiques de transport.
Le fichier ci-joint tient compte de la correction de deux erreurs : l’une au tableau 28, l’autre au tableau 30. Ces modifications ne changent en rien les conclusions générales de l’étude.
Le présent document vise à étendre le modèle PLANET afin d’endogénéiser l’impact du secteur des transports sur l’économie. A cette fin, les données issues du modèle PLANET, relatives au transport des marchandises et des ménages pour l’année 2003, sont incorporées dans un modèle d’équilibre général statique de l’économie belge. Les ménages utilisent les transports pour les trajets domicile-lieu de travail et pour leurs loisirs, tandis que les secteurs de production recourent au transport de marchandises comme input. Des effets de rétroaction importants sur les coûts de transport généralisés sont pris en compte via la congestion. Pour illustrer le modèle, les effets d’une taxe kilométrique appliquée exclusivement sur le transport de marchandises sont comparés à une taxe kilométrique appliquée également sur le transport des ménages.
Le Planning Paper 109 présente les comptes satellites des transports (CST) pour la Belgique en 2005. Il fait suite au Planning Paper 106, publié en 2008, qui présentait les CST pour la Belgique en 1995 et 2000. Les CST décrivent la dépense totale de transport; ils constituent à ce titre un complément d’information au cadre central de la comptabilité nationale pour les activités de transport, qui y sont partiellement représentées. Ils comptabilisent notamment les dépenses de transport pour compte propre, particulièrement importantes pour le mode routier. Ils fournissent également une estimation des dépenses des administrations pour l’activité transport (entretiens et investissements en infrastructures, polices des transports, subsides,...). Par ailleurs, les CST évaluent les taxes et redevances qui sont liées aux transports et qui génèrent des recettes publiques. Le développement des CST pour l’année 2005 permet une première perspective sur l’évolution intertemporelle des dépenses totales de transport puisque les CST pour trois années sont dorénavant disponibles.
L’objectif de l’étude est d’analyser l’impact de deux types de politiques de prix dans le secteur des transports à l’aide du modèle PLANET. Les deux types de politiques sont (1) un rapprochement des accises sur l’essence et le diesel et (2) une taxe routière pour les camions selon la proposition de directive européenne Eurovignette III. Les effets étudiés sont les conséquences sur l’activité de transport des personnes et des marchandises, l’impact sur l’environnement et l’impact sur le bien-être de la société. Pour les deux types de politiques, l’impact sur le budget public est neutralisé soit via la fiscalité générale, soit via la fiscalité sur le travail.
Ce Working Paper décrit les changements méthodologiques opérés dans le module « Modal and Time Choice » du modèle PLANET, suite à l’endogénisation du transport maritime à courte distance (Short Sea Shipping) pour le transport international et à l’éclatement de l’agrégat modal Bus-Tram-Métro en trois modes de transport distincts.
Le module stock de véhicules calcule la taille et la composition du stock de voitures. Il fournit une description détaillée du stock de voitures pour chaque année, par type de véhicule, par âge et selon la technologie du véhicule. Le stock de véhicules est construit à un niveau de détail permettant l’estimation des émissions des transports. L'intégration du module stock de voitures dans PLANET permettra de mieux rendre compte l'impact d'un changement dans les taxes fixes et variables imposées aux véhicules. Parmi ces impacts, les effets sur l'environnement sont particulièrement intéressants.
Les comptes satellites des transports (CST) présentent la dépense totale pour le transport en Belgique en 2000. Les CST apportent un complément d’information au cadre central de la comptabilité nationale pour les activités de transport, qui y sont partiellement représentées. Les transports génèrent des externalités qui ne sont pas comptabilisées dans la dépense totale telle que définie dans les comptes satellites. Le présent document fournit une estimation des coûts externes des transports pour les différents modes et propose une analyse conjointe des externalités et des principaux résultats des CST pour l’année 2000. Cette analyse montre l’importance des dépenses et des coûts externes générés par les transports, en particulier par le mode routier. Les coûts externes estimés sont les coûts de la pollution de l’air, du changement climatique, des accidents, du bruit et de la congestion.
Ce document présente différentes politiques de prix et analyse leurs effets sur le transport, l'environnement et le bien-être de la société à l'aide du modèle PLANET. L'internalisation des coûts externes permet d'ameliorer nettement le bien-être mais est difficile à mettre en oeuvre à court terme. Afin d'ameliorer le bien-être, la taxation routière imposée exclusivement sur les camions doit se faire en différenciant le niveau de la taxation selon la période du déplacement. L'extension de la taxe routière aux camionnettes permet d'améliorer le bien-être, en évitant le transfert d'une partie du transport de marchandises des camions vers les camionnettes. La généralisation de la taxe routière à l'ensemble des véhicules routiers (camions, camionnettes et voitures personnelles) améliore fortement le bien-être, la congestion et la vitesse moyenne sur la route. Toutefois, elle provoque une très forte hausse de la demande de transport pour le rail et le BTM (Bus-Tram-Métro), difficilement soutenable étant donné les infrastructures existantes. La généralisation de la taxe routière à l'ensemble des véhicules combinée à la suppression des subsides pour les transports publics permet d'éviter les problèmes potentiels de gestion du trafic ferroviaire et en BTM.
Dans un premier temps, ce rapport décrit l'évolution historique des émissions de gaz à effet de serre (CO2, N2O et CH4) et de polluants atmosphériques (NMVOC, CO, NOX, PM et SO2) causées par le transport sur base des chiffres officiels. Les résultats indiquent que le transport joue un rôle important dans l'évolution des émissions en Belgique. Ensuite, ce rapport compare les perspectives des émissions causées par le transport durant la période 2005-2030 (selon le scénario de référence du modèle PLANET) à trois autres scénarios de référence. Sur base d'une analyse de décomposition de l'évolution des émissions, les principaux facteurs explicatifs sont quantifiés et les différences entre les scénarios sont expliquées. Enfin, ce rapport confronte les perspectives d'émissions aux les résultats historiques.
L'efficacité du système de transport revêt une importance essentielle pour le développement économique de la Belgique. Toutefois, il apparaît aujourd'hui clairement que les transports ne contribuent pas seulement de façon positive à la prospérité économique, mais qu'ils entraînent aussi un certain nombre d'effets négatifs, comme en témoignent notamment les nombreux embouteillages et accidents de la route et la mauvaise qualité de l'air. Régulièrement, des politiques sont proposées afin de faire face à ces problèmes. L'objectif de ce rapport est de livrer un certain nombre d'éléments susceptibles de fonder une politique des transports, et ce, en donnant un aperçu des perspectives du transport dans notre pays. L'exercice a pour objectif d'élaborer des perspectives à long terme, ce qui implique de se concentrer sur les déterminants des tendances à long terme et moins sur les évolutions conjoncturelles. L'horizon de temps de cet exercice de prospective a été fixé à 2030. L'exercice laisse apparaître que pour certains indicateurs, l'évolution n'est pas aussi négative que ce que l'on imagine souvent mais que pour d'autres, le tableau est plus sombre.
Cette étude reprend et réorganise les résultats des comptes satellites des transports (CST) publiés récemment afin de fournir une première estimation des dépenses et des recettes des administrations publiques liées aux activités de transport en 1995 et 2000. A partir de ces informations, la possibilité d’estimer les transferts publics nets vers les différents modes de transport a été analysée.
Les comptes satellites des transports (CST) présentent la dépense totale de transport pour la Belgique en 2000. Les CST apportent un complément d’information au cadre central de la comptabilité nationale pour les activités de transport, qui y sont partiellement représentées. Pour ce faire, ils comptabilisent notamment les dépenses de transport pour compte propre, particulièrement importantes pour le mode routier. Ils fournissent également une estimation des dépenses des administrations pour l’activité transport (entretiens et investissements en infrastructures, polices des transports, subsides,...). Par ailleurs, les CST évaluent les taxes et redevances qui sont liées aux transports et qui génèrent des recettes publiques.
Ce document esquisse l’évolution à long terme du transport en Belgique en cas de politique inchangée. Ce scénario de référence montre que les coûts de la congestion des transports vont augmenter sensiblement et que la politique en la matière doit être modifiée. La note présente ensuite les avantages et les inconvénients possibles d’un certain nombre d’options politiques qui sont souvent proposées afin de résoudre les problèmes de transport. La première option envisagée est basée sur l’internalisation des coûts externes des transports par le biais d’une tarification adaptée des différents moyens de transport. La seconde option envisagée vise à rendre les moyens de transport « durables » plus attrayants en augmentant leur rapidité. Le choix de ces deux options a été fait en collaboration avec le SPF Mobilité et Transports