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Depuis la mi-2007, la situation économique s'est nettement détériorée. Malgré le peu d'informations négatives disponibles en août dernier, la croissance pour 2009 a été fortement revue à la baisse dans les prévisions du Budget économique adopté par l'Institut des Comptes Nationaux le 11 septembre. A la mi-septembre, une crise financière sans précédent depuis 50 ans s'est développée et a pris une extension mondiale. Grâce à l'action rapide et déterminée des gouvernements, le gouvernement belge étant un des premiers à réagir, l'implosion du système bancaire a été évitée. Toutefois, la phase aiguë de la crise financière n'a pas encore pris fin. Les marchés des actions continuent à accumuler des records à la baisse. Les risques qui pèsent sur les établissements financiers dans lesquels les gouvernements ne sont pas encore intervenus restent importants et mal connus. Même dans un scénario de stabilisation progressive des marchés financiers, la crise financière devrait avoir une incidence très négative sur l'économie réelle.
Over the 1995-2004 period, the evolution of stock market indices in the United States and Europe exhibited a distinct boom-and-bust pattern, rising dramatically during the second half of the 1990s and falling sharply at the turn of the century. These changes in asset prices affected household wealth and the financing cost of investments, so that the period of rising asset prices was also characterised by strong economic growth, while the period of falling asset prices saw weaker growth. As equity markets were largely driven by “irrational exuberance” in the second half of the 1990s, it is sometimes argued that, in order to foster a more balanced growth path, the monetary authorities in the United States and the euro area should have targeted changes in a price index which not only includes contemporaneous consumer prices but also asset prices.
In this Working Paper we assess the worldwide macroeconomic implications of an interest rate rule whereby the major central banks of the world target not only changes in the traditional consumer price index but also changes in asset prices. We do this by simulating the nime model over the 1995-2004 period with an interest rate rule similar to the well-known Taylor rule, but augmented for changes in asset prices.