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Conformément à la loi du 21 décembre 1994, le Bureau fédéral du Plan (BFP) est responsable, dans le cadre de l’Institut des Comptes Nationaux (ICN), de l’élaboration des tableaux entrées-sorties quinquennaux. Dans cette publication les tableaux entrées-sorties à prix courants pour l’année 2015 sont présentés, élaborés conformément à la méthodologie du SEC 2010 ainsi que dans les nomenclatures NACE RÉV. 2/ CPA 2.1.
L’Institut des Comptes Nationaux (icn) présente dans cette publication les tableaux entrées-sorties à prix courants pour l’année 2010. Conformément à l’article 109 de la loi du 21 décembre 1994, le Bureau fédéral du Plan (bfp) est responsable, dans le cadre de l’icn, de l’élaboration des tableaux entrées-sorties quinquennaux.
Le papier analyse la tendance à long terme de la croissance économique belge et l’évolution récente de la productivité du travail en prenant en compte l’impact de la crise. Il identifie les causes de la baisse tendancielle des gains de productivité en analysant les changements structurels de l’économie et en appliquant la méthodologie de la comptabilité de la croissance à des données sectorielles. Enfin, il envisage les actions politiques possibles qui minimisent l’impact négatif sur la demande agrégée tout en maximisant l’effet positif sur la croissance de la productivité du travail.
L’Institut des Comptes Nationaux (ICN) présente dans cette publication les tableaux entrées-sorties à prix courants pour l’année 2010, élaborés conformément à la méthodologie du SEC 1995 ainsi que dans les nomenclatures NACE Rév. 2/CPA 2008. Conjointement aux tableaux des ressources et des emplois dont ils sont déduits, les tableaux entrées-sorties assurent la cohérence des comptes nationaux. Les tableaux présentés dans cette publication sont cohérents avec les Comptes nationaux, Partie 2 – Comptes détaillés et tableaux 2012, publiés par l’ICN en octobre 2013. Les tableaux entrées-sorties constituent en outre un instrument d’analyse, mis à la disposition des décideurs, pour l’étude des relations interindustrielles et les études d’impact direct et indirect.
Dans le cadre du Plan de relance adopté fin 2012, le Gouvernement a confié à un groupe d'experts, constitué de représentants de la Banque Nationale de Belgique (BNB), du Bureau fédéral du Plan (BFP), du Conseil supérieur de l'emploi (CSE), de la Direction générale Statistique et Information économique (DGSIE), du Conseil Central de l'Economie (CCE) et d'Eurostat, les missions suivantes:
Pour remplir ces missions, le groupe d'experts a élaboré le présent rapport organisé en deux parties. La partie A traite de la productivité et du coût salarial et la partie B traite des efforts de formation des entreprises en Belgique.
Les utilisateurs de tableaux des emplois et des ressources (TER) et de tableaux entrées-sorties (TES) compilés dans des versions différentes des comptes nationaux (CN), font face à des problèmes de cohérence de leurs données dans le temps, suite aux révisions des CN. Cette étude décrit la méthodologie qui a été suivie pour calculer une série cohérente de TER et de TES pour la période 1995-2007, qui soient compatibles avec les CN publiés en novembre 2010.
Ce Working Paper s’intéresse à l’élasticité et à la progressivité de l’impôt des personnes physiques, concepts jumeaux car décrivant un même objet mais sous un angle temporel pour l’un et cross-sectionnel pour l’autre. La progressivité y est estimée à partir des statistiques de distribution des revenus imposables et de l’impôt. Par ailleurs, une méthode est proposée pour estimer la relation négative entre la progressivité et la croissance des revenus. En rétrospective, cette relation contribue à expliquer l’évolution de la progressivité durant les dernières décennies. En prospective, elle peut être employée pour projeter, à politique inchangée, une évolution de l’élasticité alternative à l’hypothèse d’élasticité constante, typique des modèles de court ou moyen terme, ou unitaire, typique des modèles de long terme. Dans ce contexte, l’impact sur la progressivité de la hausse de la part des pensions dans l’assiette imposable est pris en compte. Ce Working Paper s’intéresse également au mode de régionalisation de l’impôt des personnes physiques adopté dans l’Accord institutionnel pour la sixième réforme de l’Etat de 2011. En particulier, il montre comment le traitement des éléments du régime fiscal à dimension forfaitaire (tranche exonérée, réductions d’impôt) et des éléments à dimension progressive (barème) influence l’élasticité spécifique des parts régionales et fédérales de l’impôt.
La loi de 1996 sous titre instaure une norme salariale préventive, basée sur l’évolution attendue du coût salarial dans trois pays de référence, à savoir la France, l’Allemagne et les Pays-Bas. Elle se réfère pour ces trois pays aux prévisions établies par l’OCDE. Dans ses «Perspectives économiques », le Bureau fédéral du Plan (BFP) analyse dans le chapitre consacré au marché du travail, notamment depuis l’édition 2007, le suivi de la « norme salariale ». Cette analyse a fait apparaître l’existence de différents concepts de coût salarial. Cette note a pour objectif d’apporter des éclaircissements et explications quant à ces différents concepts et quant à l’évolution des salaires dans ces différentes acceptions. Elle s’attache également à poser certaines questions relatives à ces concepts.
Dans ce Working Paper, l’impact des déterminants potentiels de la productivité totale des facteurs, c’est-à-dire de la part de l’output qui ne peut pas être expliquée par la quantité de facteurs de production, est estimé pour la Belgique en utilisant des données sectorielles couvrant la période 1988-2007.
Afin de mieux comprendre la faible croissance de la productivité du travail en Belgique, sur la période 1996‐2007, ce working paper fournit pour ce pays et ses trois voisins, d’abord une analyse des niveaux de productivité et, ensuite, une décomposition de la croissance de la productivité selon la méthode de la comptabilité de la croissance pour les principales branches d’activité de l’économie marchande. Cette décomposition permet de souligner la contribution relativement importante de l’intensification en capital de la production dans la plupart des branches d’activité tant de l’industrie manufacturière que des services marchands. Cette augmentation du capital par heure prestée est principalement une augmentation en quantité dans l’industrie manufacturière et en qualité (effet de composition des investissements) dans les services marchands. Parallèlement, la décomposition de la croissance de la productivité du travail permet aussi de souligner la faiblesse relative de la croissance de la productivité totale des facteurs, c’est‐à‐dire de l’efficacité dans la combinaison des facteurs de production, dans la majorité des branches d’activité de l’économie marchande belge.
L’Institut des Comptes Nationaux (ICN) présente dans cette publication les tableaux entrées-sorties à prix courants pour l’année 2005 élaborés conformément à la méthodologie du SEC 1995. Conformément à la loi du 21 décembre 1994, le Bureau fédéral du Plan (BFP) est responsable, dans le cadre de l’ICN, de l’élaboration des tableaux entrées-sorties quinquennaux. Dans cette publication, la méthodologie de l’élaboration des tableaux entrées-sorties est décrite et les résultats sont présentés aux niveaux 6x6. Des tableaux plus détaillés sont disponibles (depuis fin mars 2010) sur le site internet du BFP. Le cadre des entrées et sorties décrit de manière détaillée le processus de production et les flux de biens et services dans l'économie belge. Conjointement aux tableaux des ressources et des emplois dont ils sont déduits, les tableaux entrées-sorties assurent la cohérence des comptes nationaux. Ils constituent en outre un instrument d’analyse, mis à la disposition des décideurs, pour l’étude des relations interindustrielles et les études d’impact direct et indirect. Ces dernières années, on a observé un renouveau de l'utilisation des tableaux emplois-ressources et des tableaux entrées-sorties, notamment à des fins d'analyse dans le domaine de la mondialisation et de l'économie de l'environnement.