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La nouvelle projection mondiale réalisée avec le modèle NIME du Bureau fédéral du Plan couvre la période 2013-2024. La projection indique que l’on peut s’attendre à une reprise économique limitée au cours de la période 2013-2016. Au cours de cette période, la croissance permettrait la résorption des écarts de production de la zone euro, bien que la croissance de l’économie mondiale serait tirée essentiellement par des pays autres que ceux de l’Union européenne, les États-Unis ou le Japon. À plus long terme, la croissance économique mondiale fléchirait, suite au ralentissement général de la croissance de la productivité, mais suite aussi à des évolutions démographiques défavorables.
Il faut noter que ces projections 2013-2024 pour l’économie mondiale ne servent pas d’input aux prévisions à court terme et aux projections à moyen terme réalisées pour la Belgique par le Bureau fédéral du Plan. En effet, ces dernières sont basées sur un certain nombre de méthodologies ad hoc et intègrent les prévisions internationales provenant d’institutions telles que la Commission européenne, l’OCDE et le FMI.
L’économie mondiale fait face à une crise économique et financière profonde depuis août 2007. Face à ce qui est devenu une récession mondiale, quel espoir peut-on placer dans les plans de relance budgétaire annoncés ? Les plans de relance décidés et mis en œuvre dans la zone euro et aux Etats-Unis depuis fin 2008 constitueront-ils des réponses adéquates, notamment face à l’actuelle crise financière systémique ? Ce document présente une évaluation de l’efficacité de la politique budgétaire et des plans de relance actuels. Il indique que, bien que les mesures budgétaires soient certainement utiles pour limiter l’ampleur et la durée de la crise, celles-ci seront insuffisantes à elles seules pour empêcher une récession prolongée suivie d’une reprise molle. Afin de maximiser l’efficacité des plans de relance, ceux-ci devront être accompagnés de politiques monétaires accommodantes. De plus, afin d’accélérer et de soutenir une prochaine reprise de l’activité économique mondiale, les politiques budgétaires et monétaires devront être accompagnées par des mesures visant à assainir les secteurs bancaires et financiers.
In this Working Paper, we describe how we used stochastic simulation to evaluate the risks surrounding the January 2006 NIME Economic Outlook (NEO) for the world economy. We summarise the main results by showing confidence intervals around the baseline projection as well as probabilities that certain events will occur. The results presented in this Working Paper are of an illustrative nature and do not constitute an update of the January 2006 NIME Economic Outlook.
Over the 1995-2004 period, the evolution of stock market indices in the United States and Europe exhibited a distinct boom-and-bust pattern, rising dramatically during the second half of the 1990s and falling sharply at the turn of the century. These changes in asset prices affected household wealth and the financing cost of investments, so that the period of rising asset prices was also characterised by strong economic growth, while the period of falling asset prices saw weaker growth. As equity markets were largely driven by “irrational exuberance” in the second half of the 1990s, it is sometimes argued that, in order to foster a more balanced growth path, the monetary authorities in the United States and the euro area should have targeted changes in a price index which not only includes contemporaneous consumer prices but also asset prices.
In this Working Paper we assess the worldwide macroeconomic implications of an interest rate rule whereby the major central banks of the world target not only changes in the traditional consumer price index but also changes in asset prices. We do this by simulating the nime model over the 1995-2004 period with an interest rate rule similar to the well-known Taylor rule, but augmented for changes in asset prices.